Une poudre de fée s’est déposée sur mes mains, les jolis rêves chantent des étés indiens.
Apprend à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre.
Parfois, la vie est faite de gifles et de lilas, tels les nuages qui se chamaillent dans le ciel avec le soleil.
Voici l’aube qui perce, une voix effleure tes paupières ; habille-toi de ce monde et vois ce que tu peux faire avec le temps.
Très beau texte Françoise, bien filtré telle une vendeuse d’étoiles malaxant le verbe avec douceur, un petit air de tango ouvrant un petit cœur dans un océan tranquille.
On m’a fait écho aussi d’une écriture qui peut valser dans les décors, en mode phénomène mille feuilles, nous sommes déjà à table pour goûter tes myriades de saveurs dont nous avons une mise en bouche que tu as bien voulu nous servir : « croiser un regard peut bouleverser une vie….
rater un trottoir aussi. »